Moon Over Nubble
Tuesday, December 30th, 2014Great image by Michael Blanchette
Albert Camus (Le Mythe de Sisyphe) |
Great image by Michael Blanchette
D’après un article du Journal du Net en collaboration avec Jean-Benoît Moingt.
D’après un autre article du Journal du Net.
A picture is worth a thousand words, and this illustration from the JAMA will unfortunately never be displayed on giants billboards as advertising in favor of breast cancer screening keeps on being.
From WhoIsHostingThis
People who work at Walmart talk about hating Walmart.
People who work at Starbucks talk about the day to day of customer service. Difficult customers, that kind of thing.
Big difference.
Nowadays, people talk a lot. On a multitude of channels. From blogs to big papers and everything in between.
Unless you have an army of publicists, you’re going to have trouble managing that conversation.
Much better to give them something great to talk about.
Control the conversation, by starting it in the right place.
Text and cartoon by @gapingvoidart
Les mots qu’on lance vers les étoiles ne sont pas toujours des paroles en l’air. Jongler avec les mots n’est pas donné à tout le monde. Il faut faire preuve d’habileté, de souplesse, de virtuosité. Un mot qui tombe mal ou qui tombe à côté ou que vous recevez, comme ça, en pleine poitrine, alors que vous ne vous y attendiez pas, peut faire des dégâts, il peut être blessant. Et je ne vous dis rien des séquelles et des traumatismes pendant des mois, des années. Combien d’estropiés du cœur après des collisions verbales. Il ne faut jamais l’oublier : les mots sont dangereux. Ils doivent être maniés avec infiniment de précaution.
Les mots qu’on envoie en l’air ont besoin de souffle et d’inspiration. Il existe des mots lourds de sens, mais qui surtout pèsent des tonnes. Tournez les pages de votre quotidien, faites défiler les actualités sur votre tablette. C’est fou comme les journaux sont remplis de déclarations, de proclamations, de promesses, de décrets, de divulgations, de révélations…
Mais les mots en l’air quand ils sont vifs comme des cabris, vaporeux comme des elfes, légers comme de la chantilly, sont des bouffées de fraîcheur qui longtemps voltigent comme des feuilles d’automne sous le préau de notre conscience.
« Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant. Ne me secouez pas. Je suis plein de larmes. Dans l’eau de la claire fontaine elle se baignait toute nue. Y’a d’la joie ! J’en ai tant vu qui s’en allèrent ils ne demandaient que du feu. Je chante un baiser »…
Dans quelques années, dans quelques mois, dans quelques jours, enfin, tout de suite, là, dans quelques instants, nous aurons oublié les mots qui aujourd’hui font les importants, qui se poussent du col, qui jouent les gros bras et longtemps nous seront reconnaissants à Paul Verlaine, à Henri Calet, à Georges Brassens, à Charles Trenet, à Louis Aragon, à Alain Souchon, à tant d’autres, d’être de si fidèles compagnons qui ont su suspendre en apesanteur les mots de la mémoire et de la consolation.
François Morel
In a great blog post, Oscar Berg (@oscarberg) revisited the collaboration pyramid by showing the social immersed part of the iceberg that allows collaboration processes to come true.
Oscar Berg’s greatly valuable contribution is to state that all these "under the water" processes can remain implicit when a team meets in real life, but, as deep foundations, must be explicitly addressed when social activities are operated through electronic media.